Le nouveau Kangoo s’est offert des cours de maintien sans rien perdre de son sens de l’accueil. Voilà une boîte à malices toujours aussi attirante, même si son petit diesel de 95 ch tire la langue.

Si les monospaces sont en voie d’extinction – l’actuel Scénic sera le dernier de sa lignée –, les ludospaces, ces dérivés d’utilitaire, vont leur survivre. Et il suffit de passer quelques heures en compagnie de cette 3e génération de Kangoo pour en comprendre la raison. Aucune autre voiture n’est aussi logeable et pratique, qu’il s’agisse d’emmener des VTT sans porte-vélo, d’aller promener les chiens sans avoir peur de ruiner son coffre ou de se rendre à la déchèterie sans faire douze allers-retours. Autant d’activités du quotidien dont le prérequis est simple mais pas si courant : beaucoup d’espace et des aspects pratiques bien pensés.

Question volume, il se pose là, ce Kangoo, étiré autant en longueur (4,49 m, + 20 cm) qu’en largeur (1,92 m, + 8 cm). La hauteur ne change pas (1,84 m), et la taille du hayon non plus, lui qui exige toujours autant de place pour s’ouvrir – il faut y penser quand on se glisse dans un emplacement étroit. En contrepartie, la porte battante offre une ouverture géante et carrée sur une soute digne d’un conteneur d’avion. En enlevant l’encombrante tablette, l’espace de chargement atteint 1 m de long, 1,15 m de large sur presque 1,10 m de haut, soit un volume de plus de 1,30 m ! Besoin de plus ? En basculant le 2e rang, la longueur passe à 1,80 m et, avec l’option dossier avant droit rabattable, on dispose de plus de 3 m du fond du coffre jusqu’au-dessus de la planche de bord.



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pour L’Automobile Magazine