Il ne lui reste sans doute plus beaucoup de temps à passer dans la gamme Renault, mais le Koleos peut encore séduire les amateurs d’espace à bord et d’un certain chic chez Renault.

Ces derniers mois, Renault a dû, sous la pression des nouvelles normes antipollution, renouveler ou faire évoluer profondément la plupart de ses motorisations. C’est les cas des deux blocs du Koleos. Apparus avec le restylage de l’été dernier, les 2.0 Blue dCi 150 et 190 ch ne posent, jusqu’à présent, aucun problème. Ils ne sont disponibles qu’avec la transmission X-Tonic. Pour terminer sa carrière et c’est en revanche plus inattendu, le grand SUV du Losange a quand même réintroduit à son catalogue un moteur essence, le 1.8 TCe 160, lui aussi seulement disponible avec la boite auto. EDC. Pas de choses à redire pour le moment sur cet ensemble un peu récent pour être catégorique. Point positif, en revanche, le nombre de bugs électroniques du début de carrière est en très nette baisse. Un “miracle” surtout causé par l’arrivé d’une nouvelle génération du système multimédia.

Conçu presque intégralement par Samsung Motors, la filiale coréenne du groupe Renault, le Koleos répond logiquement davantage aux critères en vigueur en Asie qu’à ceux du Vieux ­Continent : comprenez par-là que l’aspect des plastiques, des selleries et leurs assemblages respectifs n’ont pas fait l’objet d’un soin maniaque. L’ensemble peut sembler flatteur mais dans le détails, les assemblages sont parfois perfectibles. Rien qui ne soit vraiment gênant, mais on est en droit d’attendre mieux d’un véhicule vendu à partir de presque 35 000 €. Quatre finitions sont disponibles au catalogue : Life, Zen, Intens, Initiale Paris.



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pour L’Automobile Magazine