Botte secrète des constructeurs pour éviter autant que possible les amendes CO2, la technologie hybride rechargeable suscite ces derniers temps un vif intérêt. Entre autres parce qu’elle ne serait pas si vertueuse que promis, ce que L’Automobile Magazine affirme depuis des années. Mais il convient cependant de ne pas mettre tout le monde dans le même sac, comme le montrent nos mesures certifiées ISO.

 

Il n’y a pas 50 solutions pour électrifier une gamme automobile. Seulement deux : recréer de toute part des modèles “zéro émission” ou électrifier ceux déjà existants avec une batterie de moyenne taille et un petit moteur électrique pour en faire des hybride rechargeable. Une techno séduisante sur le papier puisqu’elle permet d’évoluer en tout électrique à faible allure – bien plus longtemps que les hybride simple – et de partir en vacances sans penser à la recharge électrique. Mais en dépit de tout l’emballage marketing et des chiffres de consommations minimes annoncés dans les pubs, inutile de se voiler la face, les constructeurs n’usent du “plug-in” hybride que pour éviter les lourdes amendes CO2 destinées à ceux qui ne respecteraient pas les quotas fixés par l’Union Européenne. Sans vraiment se soucier de l’efficience des systèmes et des consommations une fois la batterie vide. Avec, toutefois, quelques exceptions. Grâce à nos mesures ISO9001, nous sommes en effet en mesure de distinguer les marques qui visent réellement l’efficience de celles qui abusent de la technologie hybride rechargeable pour simplement faire de la puissance tout en échappant au malus CO2.



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pour L’Automobile Magazine