Toujours très appréciée, la compacte allemande gagne sa plus méchante version à ce jour, avec la déclinaison R. Au menu : 320 ch, quatre roues motrices et un look affirmé.

C’est désormais une tradition depuis la quatrième génération de Golf : la compacte a droit à au moins une version GTI, et une plus méchante version R. Elle a commencé sa carrière en 2002 avec un V6 3.2 de 240 ch (Golf 4 R32), avant de passer au quatre-cylindres 2.0 turbo (Golf 6 R), mais elle a toujours gardé sa transmission intégrale 4MOTION au fil des millésimes. C’est donc sans surprise que la nouvelle Golf R, basée sur la huitième génération de la compacte, débarque avec quatre roues motrices. Elle peut toutefois être gréée cette année d’un pack R-Performance optionnel qui s’accompagne, c’est inédit, de Torque Vectoring entre les roues arrière. Davantage de couple peut être ainsi envoyé sur la roue extérieur en virage, afin de produire un effet de lacet et aider la voiture à tourner.

Le pack comprend aussi des jantes de 19 pouces (18 en série), un aileron plus prononcé, un relèvement de la vitesse maxi à 270 km/h et deux modes de conduite supplémentaire : Drift et Spécial Nürburgring. Si le premier lâche la bride à l’ESP (par ailleurs totalement déconnectable) pour permettre des dérives prononcées, le second a été calibré pour donner le meilleur de la Golf sur la piste mythique Nordschleife du Nürburgring, en Allemagne. Ce dernier agit notamment sur la suspension et vise à ne pas trop la durcir, afin d’absorber au mieux les nombreuses déformations du circuit et maximiser l’adhérence.



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pour L’Automobile Magazine