Alors que le Q5 restylé débute tout juste sa carrière, Audi le décline pour la première fois en une variante Sportback et dispose désormais d’un SUV-coupé sur le segment. Le constructeur d’Ingolstadt était le dernier du trio premium à ne pas profiter de ce créneau, qui n’est plus vraiment une niche.

Lorsqu’une idée fait recette, autant l’exploiter jusqu’au bout. Tout le monde y va de son SUV en tenue de sport. Compte tenu du succès du pionnier du genre, un certain BMW X6 apparu en 2008, impossible de renoncer au gâteau… Le X4 a suivi de près (2014), Mercedes a rejoint le clan avec les GLE et GLC Coupés (2016), et Audi, plus tardif, propose depuis peu ses Q8 et Q3 Sportback.

Seul le Q5, jusqu’à présent, était absent de la catégorie des SUV-Coupés intermédiaires. Dont acte, la carence est réparée avec le Q5 Sportback. En clair, un Q5 rhabillé avec une ligne de toit fastback fuyante, à la manière de son petit frère Q3 Sportback. La silhouette est plus dynamique, mais les proportions restent les mêmes : 4,69 m de long, soit 7 mm de plus, à la faveur du dessin à peine retouché des boucliers. Cela dit, à l’inverse du Q3 Sportback qui ne partage aucun élément de carrosserie avec le Q3 à carrosserie classique et dont le style s’en distingue très nettement, le Q5 Sportback reste plus proche du simple Q5. Point d’épaulement prononcé, et la ligne de caisse latérale reste quasi identique.



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Antoine Arnoux pour TURBO.fr