A son lancement, l’actuelle génération de la compacte BMW cumulait les motifs de reproches. Adieu propulsion, look clivant… et terminé, le 6 en ligne. Son statut de mal-aimée dès sa naissance rappelle son ancêtre pas si lointaine. Mais avec la 128ti, BMW nous refait peut-être le coup de la 318ti Compact E36. Et ce n’était pas si mal, avec du recul.

Condamner cette troisième génération de Série 1, quelque part, s’apparente presque à tirer sur l’ambulance. Evidemment. Les précédentes, en tant que seules compactes propulsion du marché, ont vite acquis les faveurs des puristes (et des autres). En abandonnant ce qui faisait son sel, BMW rentre dans le rang et ne propose finalement rien de plus qu’une bonne traction, aboutie certes, face aux Mercedes Classe A et Audi A3.

Rappelons toutefois que les compactes, chez les constructeurs premium, sont apparues assez récemment. Et qu’avant la première Série 1, née en 2004, BMW a occupé le créneau avec une discutable Série 3 Compact, apparue en 1993. Les commentaires à son égard étaient à peu près équivalents à ce que l’on entend aujourd’hui sur la nouvelle Série 1. Mal aimée à cause de son châssis recyclant un train arrière de l’ancienne E30 (l’habitacle en était en partie issu, également), et de son profil tronqué.



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Antoine Arnoux pour TURBO.fr