RoadMate

Rattachée au plan d’action « France Mobilités » du ministère des transports, la start-up Roadmate, lance sa carte de paiement des frais de mobilité des salariés. Particularité : « c’est la première carte qui, par son utilisation quotidienne, permet de compenser l’empreinte CO2 », avance Thierry Cosme, le directeur général de Roadmate.

Roadmate veut réduire l’empreinte carbone de ses clients

Roadmate, start-up créée en 2019, s’est en effet donné pour mission « de réduire l’empreinte carbone de ses entreprises clientes ». Avec aussi l’objectif d’améliorer le bien-être de leurs salariés. « Pour chaque transaction, la start-up affecte une partie de sa commission à des projets de boisement et de reboisement en France », indique Roadmate. Des projets gérés par Stock CO2, un organisme indépendant labellisé bas carbone.

La carte Roadmate est affiliée au réseau Mastercard. Elle permet ainsi de régler les déplacements liés au forfait mobilités durables ou au crédit mobilité accordés par les entreprises. Le montant du forfait mobilités durables atteint jusqu’à 600 euros en cas de cumul avec un abonnement de transport en commun. L’entreprise verse le crédit mobilité au salarié en fonction de son renoncement, total ou partiel, à sa voiture de fonction.

Des services de mobilité douce

La carte Roadmate fonctionne sur le modèle d’autres cartes similaires : Betterway, Ticket Mobilité, Worklife, etc. Elle se configure ainsi depuis une interface pour déterminer le montant et l’usage des crédits. « Plus de 5 000 services de mobilité douce peuvent s’utiliser avec la carte », indique la start-up. Roadmate propose également une application à destination du salarié. Celui-ci salarié accède alors à tous les moyens de transport autorisés dans le cadre de son forfait. Le gestionnaire de mobilité, de son côté, dispose d’une interface. Cet outil centralise les justificatifs de déplacement, les statistiques mais aussi un bilan carbone des trajets.



Pour lire l’article complet, rendez vous sur le site de l’auteur : Source de l’article

Frédéric Blin pour Floauto.com