Aussi bien sur le plan curatif que préventif, les interventions sur site pour l’entretien du parc font gagner beaucoup de temps, ce temps si précieux à la plupart des conducteurs des véhicules. Des véhicules qui, tous garés dans un même lieu, un parking notamment, peuvent donc être auscultés de près par les prestataires. Un exemple avec ce parc d’ambulances sur lequel BestDrive intervient la nuit, après un travail préparatoire (commande de pièces détachées, etc.), « avec des avantages très utiles “en temps masqué”, puisque tout le monde travaille plus ou moins en flux tendu », avance Laurent Proust pour cette enseigne.

Avec quelques nuances…

Aussi bien sur le plan curatif que préventif, les interventions sur site pour l’entretien du parc font gagner beaucoup de temps, ce temps si précieux à la plupart des conducteurs des véhicules. Des véhicules qui, tous garés dans un même lieu, un parking notamment, peuvent donc être auscultés de près par les prestataires. Un exemple avec ce parc d’ambulances sur lequel BestDrive intervient la nuit, après un travail préparatoire (commande de pièces détachées, etc.), « avec des avantages très utiles “en temps masqué”, puisque tout le monde travaille plus ou moins en flux tendu », avance Laurent Proust pour cette enseigne.

Avec quelques nuances toutefois du côté des enseignes. « Nous n’avons pas d’offre standardisée, mais nous n’interdisons pas à nos adhérents de proposer une offre sur site. Cependant, il faut que l’investissement soit calculé et rentable. Il faut aussi que le potentiel soit important. Or, le télétravail se répand et il n’est pas forcément favorable aux ateliers mobiles et aux interventions sur site », souligne Lionel Haberlé pour Point S. Notons qu’il faut distinguer le cas des poids lourds, des modèles totalement adaptés aux interventions sur site car nettement moins faciles à acheminer dans des ateliers que le reste du parc automobile.

Interventions sur site : des prestations d’entretien en perpétuel développement

C’est pour ces raisons que Norauto investit dans cette activité avec prudence et, surtout, avec une stratégie basée sur un modèle économique censé retenir les leçons du passé. « Nous avons commencé de développer cette activité au début 2023 à l’échelle nationale, rappelle Jérôme Bonnaire, chef des ventes BtoB de l’enseigne. Quelques centres s’y étaient frottés, mais le réseau n’avait pas de stratégie globale dans l’ensemble de l’Hexagone. C’est fait désormais et Norauto privilégie une approche indépendante grâce à la création d’une “business unit” complètement dédiée.

Il est en effet important de s’appuyer sur une organisation indépendante qui dispose de ses propres moyens, comme un hub de pièces indépendant en France », poursuit Jérôme Bonnaire. Ce qui évite d’être tributaire du bon vouloir des directeurs de centre qui parfois préfèrent voir leurs techniciens dans les ateliers, ajoute-t-il. Pour l’instant, l’enseigne teste cette activité à Marseille avec des interventions sur site susceptibles de se faire dans un rayon de 30 à 40 km autour de la ville. Lyon, Toulouse et Nantes suivront, et Norauto espère parvenir à couvrir la France d’ici deux ans environ.



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Hakim Remili pour Floauto.com