Pierre-Thomas Blaise est directeur du parc matériel de Bordeaux Métropole.

« 30 % de nos renouvellements de véhicules se font en électrique. Ainsi, le nombre de bornes de recharge sur nos sites évolue, lentement, mais en permanence : nous installons dix à vingt bornes par an. Les véhicules électriques de notre parc se rechargent en effet uniquement sur site, sur des places dédiées, la nuit ou entre midi et 14 h 00, à des bornes non ouvertes au public et installées dans les parkings privés d’une dizaine de nos sites. Et l’investissement de Bordeaux Métropole dans ces bornes se révèle assez minime : 1 500 euros par borne achetée, sachant…

Pierre-Thomas Blaise est directeur du parc matériel de Bordeaux Métropole.

« 30 % de nos renouvellements de véhicules se font en électrique. Ainsi, le nombre de bornes de recharge sur nos sites évolue, lentement, mais en permanence : nous installons dix à vingt bornes par an. Les véhicules électriques de notre parc se rechargent en effet uniquement sur site, sur des places dédiées, la nuit ou entre midi et 14 h 00, à des bornes non ouvertes au public et installées dans les parkings privés d’une dizaine de nos sites. Et l’investissement de Bordeaux Métropole dans ces bornes se révèle assez minime : 1 500 euros par borne achetée, sachant qu’une borne va alimenter deux à trois véhicules.

Ce qui peut coûter cher en revanche, ce sont les travaux d’installation. Or, le plus souvent, chez Bordeaux Métropole, ce coût s’élève à zéro, car nous avons des arrivées électriques un peu partout dans nos sites. Ce coût peut cependant gonfler selon la longueur des câbles à passer, l’exiguïté du terrain et la distance séparant la borne d’un transformateur. Mais nous disposons là aussi d’un avantage : c’est un service interne qui s’occupe des travaux. L’essentiel de l’investissement reste donc pour nous l’achat de la borne. »



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Intissar El Hajj Mohamed pour Floauto.com