Yohann Desalle est manager de transition chez Engie.

« La transformation du gestionnaire de flotte en mobility manager est inéluctable, mais avec un calendrier différent selon les entreprises et les usages. J’estime que le processus se fera en deux, voire trois étapes. Tout d’abord, le gestionnaire qui suit les voitures se met à couvrir d’autres engins ou dispositifs : vélos, trottinettes, marche à pied, autopartage, crédit mobilité total ou partiel, ou encore une offre de six-roues combinant voiture et vélo. C’est, selon moi, une étape assez facile à atteindre pour tous les gestionnaires de flotte. Il suffit d’analyser les offres des…

Yohann Desalle est manager de transition chez Engie.

« La transformation du gestionnaire de flotte en mobility manager est inéluctable, mais avec un calendrier différent selon les entreprises et les usages. J’estime que le processus se fera en deux, voire trois étapes. Tout d’abord, le gestionnaire qui suit les voitures se met à couvrir d’autres engins ou dispositifs : vélos, trottinettes, marche à pied, autopartage, crédit mobilité total ou partiel, ou encore une offre de six-roues combinant voiture et vélo. C’est, selon moi, une étape assez facile à atteindre pour tous les gestionnaires de flotte. Il suffit d’analyser les offres des prestataires qui commercialisent ce type de solutions. Et ils sont nombreux ! Certains gestionnaires s’arrêteront là.

« Une solution de mobilité de type “Mobility as a service (Maas)” » (Yohann Desalle, Engie)

Les autres pourront aller plus loin et s’aventurer dans le mobility management. Il s’agit alors de remplacer les véhicules de fonction en développant une solution de mobilité de type “Mobility as a service (Maas)” et en suivant l’ensemble des prestataires. On pourra ensuite, mais je ne connais pas encore d’exemple, poursuivre la mutation en agrégeant les déplacements domicile-travail. »



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Gwenole Guiomard pour Floauto.com