Une nouvelle R5 électrique, des plans pour Alpine et des Renault vendues plus cher : le constructeur français doit dévoiler, jeudi 14 janvier 2021, sa feuille de route pour affronter la révolution du secteur automobile. La crise a frappé un groupe qui était déjà en difficulté. La firme au losange a annoncé fin mai 2020 un plan d’économies de plus de 2 milliards d’euros sur trois ans, prévoyant quelques 15 000 suppressions de postes dans le monde, dont 4 600 en France. Après un mariage raté avec FCA, qui a finalement convolé avec PSA, Renault sort également du scandale Carlos Ghosn qui a fait tanguer l’alliance avec Nissan et Mitsubishi. Les alliés tentent depuis de se relancer et prévoient de développer et produire en commun près de 50 % de leurs modèles à horizon 2025.
Outre l’Alliance et la chasse aux coûts, le nouveau directeur général Luca De Meo, arrivé en juillet 2020, a déjà annoncé que le groupe allait privilégier “la profitabilité aux volumes“, c’est-à-dire vendre moins de voitures mais les vendre plus cher. Une volte-face stratégique, qui fait passer Renault du modèle de Carlos Ghosn à celui de Carlos Tavares chez PSA. Le groupe est désormais structuré autour de quatre marques : le navire amiral Renault, les Dacia à petit prix, les sportives Alpine et la nouvelle marque de mobilité Mobilize.
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christophe.jaussaud@journalauto.com pour JournalAUTO