Depuis l’annonce de la fermeture programmée de l’usine Bridgestone de Béthune, les réactions vont bon train. Hommes politiques et syndicats montent au créneau, pointant les choix du manufacturier, mais aussi le rôle de l’Etat et des aides qu’il distribue.

Comme c’était malheureusement à craindre, après la crise sanitaire -qui est loin d’être terminée- la crise économique se fait sentir. Des dossiers sont plus médiatiques que d’autres mais les cessations de paiement, les redressements judicaires ou les fermetures sont bien réels. Le dernier exemple en date, très médiatique, est l’usine Bridgestone de Béthune. Et les réactions ne manquent pas.

Pour Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, interrogé sur CNews, la décision de Bridgestoneest une décision révoltante, avec une méthode révoltante et des conséquences révoltantes.” “Nous allons nous battre” a assuré le ministre, dans un premier temps pour tenter de “développer une autre activité avec des pneus plus larges que ceux qui sont produits actuellement sur le site de Béthune“. “Et si jamais nous n’arrivons pas à cette solution-là, (pour) trouver des solutions de réindustrialisation du site pour qu’il y ait, pour chaque ouvrier de Bridgestone, une solution qui soit une solution cohérente et acceptable pour eux“, a-t-il ajouté.



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christophe.jaussaud@journalauto.com pour JournalAUTO