Zoom de l’Arval Mobility Observatory – Son anniversaire est passé quasiment inaperçu. Et pour une fois, la faute n’en revient pas à la reprise de la Covid-19 ! L’Opep, le tout-puissant cartel des pays exportateurs de pétrole, vient de souffler ses 60 bougies et personne – ou presque – n’en a parlé.

Il est loin le temps où les réunions de l’Opep à Vienne tenaient en haleine les marchés internationaux pendant des heures voire des jours, dans l’attente d’une hypothétique “fumée blanche” à l’image de celle du Vatican, synonyme d’accord entre l’Arabie Saoudite et ses collègues producteurs, et donc d’une perspective de détente sur le front des cours du brut.

Pour des pays comme la France, dépourvue comme chacun sait de pétrole, les décisions de l’Opep agissaient comme autant d’épouvantails pour l’économie, l’industrie et… le portefeuille de l’automobiliste. “L’Opep fera la pluie et le beau temps sur le marché de l’or noir et marquera pour toujours l’histoire de l’économie mondiale“, soulignait en début de semaine le quotidien Les Echos (1). Signe de son poids croissant sur l’échiquier mondial, l’Organisation sera même la cible au milieu des années 70 du terroriste Carlos, qui prendra en otage 70 personnes au siège à Vienne, au nom de la défense de la cause palestinienne.



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