Réussie, la dernière BMW Série 1 invite à opter pour une motorisation essence pour profiter de son bon compromis confort/comportement. Entre une petite 118i et une exubérante M135i, le bavarois va introduire une 128ti qui pourrait être le bon numéro.

Sur le papier, la récente Série 1 ne plait pas aux amoureux de BMW. Ni même aux adeptes de tradition. Ceux-ci ne jurent que par le 6-cylindres en ligne et la propulsion alors que la troisième génération de la compacte bavaroise, aux formes plus traditionnelles, a tout abandonné de cette recette, préférant les roues avant motrices et les 4-cylindres turbo. Mais en prenant le volant de cette Série 1 revisitée, on se dit que tout cela est un mal pour un bien, car le plaisir de conduire est bien au rendez-vous. Problème, c’est qu’en essence, il n’y a pour l’instant le choix qu’entre une brave 118i munie d’un 3-cylindres 1.5 de 140 ch ou une chère M135i xDrive de 306 ch à 54 650 € hors options…

Entre ces deux extrêmes viendra très bientôt s’intercaler une 128ti qui pourrait bien être la bonne formule. BMW vient de diffuser officiellement quelques photos et informations sur un prototype quasi finalisé. Hormis trois stickers qui traînent devant et derrière, cette version intermédiaire est donc prête à être vendue. La fiche technique est encore incomplète mais on connait déjà la mécanique, en l’occurrence le même 4-cylindres 2.0 turbo que la M135i mais ici dégonflé à 265 ch transmis aux seules roues avant. Le couple devrait être assez proche des 450 Nm de la plus puissante des Série 1. La formule comptera de série la transmission automatique à 8 rapports et un différentiel Torsen afin d’optimiser le comportement, qui bénéficiera aussi d’un allègement de 80 kg par rapport à la M135 selon BMW.



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pour L’Automobile Magazine