Le quatrième groupe automobile mondial a fort affaire en termes d’organisation interne. Avec pas moins de 16 marques à gérer, il était impératif de les repositionner pour éviter de se chevaucher.

Stellantis n’existe que depuis quelques jours mais le groupe consolide déjà ses positions sur le marché mondial en commençant par redonner sa place à chaque marque qui le compose. Premier constat, le rapprochement des deux entités qu’étaient PSA et FCA n’engendre pas de fusion inédites des gammes et des marchés : rien n’est moins sûr quant à un hypothétique retour de Peugeot en Amérique du Nord, tandis que les marques Chrysler, Dodge et RAM resteront très confidentielles chez nous et avant tout destinées au marché américain.

Du côté des Français, pas de chamboulement majeur non plus. Citroën reste une marque généraliste abordable tandis que Peugeot est positionné de façon intermédiaire puisque plus haut de gamme que son cousin aux Chevrons, mais ne faisant pas vraiment partie de la catégorie premium. Cette dernière regroupe DS, Alfa Romeo et… Lancia. De quoi interpeller quand l’on sait que la marque italienne ne compte plus que la petite Ypsilon dans sa gamme. Non seulement la citadine fête ses 10 ans de carrière, mais elle repose également sur la même plate-forme que les Fiat 500 et Panda. Niveau premium, on a vu mieux… Reste qu’au sein d’un groupe aussi étendu, Lancia pourrait maintenant profiter à moindre coûts d’autres plateformes et ainsi potentiellement étendre sa gamme avec de nouveaux modèles.



Pour lire l’article complet, rendez vous sur le site de l’auteur : Source de l’article

pour L’Automobile Magazine