Un grand passionné de véhicules sportifs et luxueux, a eu la riche idée de demander à Bugatti de lui concevoir une auto unique, sur une base de Divo. Voici l’exceptionnelle coccinelle, résumée en 4 points.

C’est sans doute ce qui aura demandé le plus de travail aux différents départements de Bugatti qui ont bossé sur la carrosserie de la Divo Lady Bug. Ainsi, ce sont 1600 petits diamants qui ornent la carrosserie de la Divo Lady Bug, via une trame géométrique en forme de multiples losanges. Un travail minutieux entrepris sur maquettes puis sur ordinateur, avant que tout ne soit délicatement posé à la main ; tandis que dans l’habitacle, l’habillage des sièges reprend par-devers lui ces mêmes motifs ! Last but not least, la supercar de Molsheim est recouverte d’une exceptionnelle peinture double teinte, encore jamais vue sur un modèle de la marque et baptisée Customer Special Red et Graphite.

Pas grand-chose de singulier à signaler sous le capot de la Lady Bug, sinon qu’on y trouve toujours le fabuleux bloc 8.0 W16 développant 1 500 chevaux pour un couple de 1600 Nm. Un moteur capable d’emporter l’hypersportive diva Divo jusqu’à… 380 km/h, via sa transmission automatique à 7 rapports. Tout est dit.



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pour L’Automobile Magazine