La McLaren Artura, désormais disponible à la commande, met le paquet sur les garanties offertes après-vente. En outre, la sportive anglaise hybride ne sera taxée d’aucun malus écologique dans notre pays.

Avec son modèle Artura, McLaren entend faire coup double : faire baisser drastiquement les émissions de C02 de sa gamme, et rallier à lui de nouveaux adeptes. Ainsi, la sportive hybride de 680 chevaux en puissance cumulée (585 chevaux pour le V6 6.3, 95 ch via le bloc électrique) et dont le poids à vide n’excède pas 1,5 tonne, n’émet que 129 grammes de CO2/km ; ce qui, en 2021 dans notre pays, la place en case neutre du barème écologique (le premier malus démarre à 133 grammes).

Un petit exploit qui n’en fait pas pour autant une auto aseptisée, avec des performances de tout premier plan : l’exercice du 0 à 100 km/h écarté en 3 secondes et une Vmax donnée à 330 km/h. Pour mieux réussir son pari de l’électrification à « grande échelle », McLaren a aussi particulièrement soigné la feuille après-vente, d’un modèle sans véritable rivale au sens strict sur le marché à ce jour. La McLaren Artura offre à ce propos une garantie complète de 5 ans/75 000 km sur le véhicule, de 6 ans/75 000 km sur la batterie hybride et même de 10 ans sur sa carrosserie (anti-perforation et cette fois sans limite de kilométrage).



Pour lire l’article complet, rendez vous sur le site de l’auteur : Source de l’article

pour L’Automobile Magazine