Alors que le patron de Renault, Luca De Meo, présentera demain la stratégie du groupe pour les prochaines années, dont l’arrivée d’un nouveau logo qui circule depuis ce matin sur la Toile.

Ce jeudi 14 janvier, Luca De Meo va prendre la parole pour détailler le plan qu’il a concocté pour Renault. Depuis sa prise de poste il y a tout juste un an, l’ancien boss de Seat n’a pas chômé pour relancer un constructeur en perte de vitesse depuis quelques temps. Mais si l’essentiel de la “Renaulution” porte en grande partie sur le Losange avec une stratégie d’électrification avancée et une gamme recentrée, De Meo compte aussi capitaliser sur les deux autres marques Alpine et Dacia. En réinstallant Alpine en Formule 1 l’an prochain et en assurant vouloir faire de ce blason un mini-Ferrari à la française, le nouveau patron du Losange a rassuré ceux qui s’inquiétaient de la disparition de l’A110 dans un avenir proche. La berlinette n’a pas fini d’exister et elle ne sera pas seule. Quant à Dacia, l’Italien ne manque pas d’ambition, y voyant une marque à part entière au développement sûr et sans vraie concurrence.

S’agissant de la firme roumaine, il n’y a pas de grande révolution à attendre de la “Renaulution”. En 2020, le lancement des nouvelles Sandero et Sandero Stepway a suffi à démontrer les ambitions de Dacia dans la continuité de l’impulsion donnée par le Duster “2” en 2017. Look peaufiné, prestations routières et équipement au goût du jour, les citadines roumaines incarnent parfaitement la montée en gamme de la marque, au point de devenir de vraies références par leur rapport/prix prestations. L’arrêt de la Logan, prochainement du Lodgy – remplacé par un SUV 7-places différent du Duster – sont les autres signes d’une gamme plus moderne et promise à un certain succès. S’il soutient parfaitement cette dynamique entamée avant son arrivée, Luca De Meo y apportera en plus sa petite touche personnelle.



Pour lire l’article complet, rendez vous sur le site de l’auteur : Source de l’article

pour L’Automobile Magazine