Rien de tel que de tracer la route pour bien faire connaissance. Après trois jours et plusieurs centaines de kilomètres à son volant, c’est sûr, elle est bien née cette séduisante 308, ici en version essence PureTech 130.

“Comment on désactive le maintien de file ?”. Ma première question lors de la mise en mains juste avant de prendre la route est sortie toute seule. Amusé, le chef produit de la toute nouvelle 308 est précis : “une pression sur le bouton “voiture” (juste à droite du réglage du volume) suivi d’un clic sur la désactivation de la fonction, un dernier clic de confirmation et c’est bon !”. Une touche directe eut été plus simple, d’autant qu’il faut le refaire à chaque démarrage, mais il faut souligner la réactivité du système : l’électronique de la 308, qui profite comme sa cousine DS 4 d’une toute nouvelle télématique, se réveille dès que l’on ouvre la porte et pas quand on met le contact.

Derrière la ligne dynamique à souhait, l’habitacle en met plein la vue avec sa nouvelle déclinaison du i-Cockpit Peugeot. Les animations de l’écran-compteur aux effets 3D (désactivables) sont fluides, la dalle centrale s’avère aussi bien définie que lumineuse, tandis que des “i-Toggles” font leur apparition. Un énième anglicisme pour désigner cinq touches configurables à l’envi situées entre l’écran central et une rangée de vrais boutons. Aussi simples à configurer qu’un smartphone, ces touches tactiles participent à s’approprier cet habitacle séduisant où l’on sent l’influence Audi dans le design et dans la soin apportée à la finition. La Lionne n’a pas grand-chose à envier à une Audi A3notamment aussi dans son goût des surfaces noires maculées de traces de doigt après seulement quelques heures d’utilisation. Une fois assimilé les raccourcies – par exemple toucher l’écran avec trois doigts fait arriver directement dans le menu des paramètres – il est temps de prendre la route.



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pour L’Automobile Magazine