Comme son grand frère le Renault Espace, le Scénic a été restylé très timidement en fin d’année dernière. Preuve s’il en est qu’il fait partie d’une espèce en voie de disparition. Qu’on ne doit plus considérer ? Eléments de réponse.

Il s’en est vendu un peu moins de 18 000 exemplaires du Renault Scénic en 2020… des ventes divisées par plus de 5 en près de quinze ans. Le Kadjar, pourtant pas un franc succès lui non plus, se vend un peu mieux. Le Scénic est en sursis, il ne sera pas remplacé. Et pourtant, il résiste encore. Le constructeur a daigné lui offrir un restylage en fin d’année dernière. Très timide, certes. Tout comme l’Espace. Et contrairement à son rival de toujours, il est toujours disponible en version courte et longue. Le Citroën C4 Spacetourer ayant en effet quitté le catalogue en fin d’année dernière, il ne reste plus aujourd’hui que le grand des deux C4 proposés jusque-là.

Le Scénic ne manque pas de qualités au quotidien. Certes, il a perdu en aspects pratiques. Mais même s’il a troqué par exemple ses sièges indépendants à l’arrière contre une plus classique banquette 1/3-2/3, au moins les sièges se replient-ils en un tournemain dans le plancher. Le volume du coffre est décent. Il est plutôt rassurant au volant. Et le confort ne souffre pas des jantes de 20 pouces… qui remplissent bien les passages de roues et le rendent plus séduisant. Mais on pouvait hésiter jusque-là à cause de ses problèmes de jeunesse et sa qualité de fabrication plutôt moyenne. A-t-il évolué sur ce point ?



Pour lire l’article complet, rendez vous sur le site de l’auteur : Source de l’article

pour L’Automobile Magazine