Le bug des superchargeurs Tesla, qui permet depuis quelques jours à n’importe quelle voiture électrique d’y être branchée gratuitement rappelle, au-delà de cet épiphénomène, que le chargement d’une voiture électrique dépend de nombreux paramètres et qu’il n’est jamais vraiment prévisible. On vous explique.

Dans le merveilleux monde de la voiture électrique pour tous, le voyage est une nouvelle expérience. On prend son temps pour parcourir les kilomètres. Il est facile de s’arrêter pour “faire le plein”, car les bornes de recharge rapides pullulent sur l’espace public. A peine le temps de se dégourdir les jambes ou de prendre un café que le plein d’électricité est déjà fait. Magique. Mais dans la vraie vie, la musique est tout autre.

En France, à peine 30 000 points sont ouverts au public à ce jour et seul 6 % d’entre eux sont de capacité supérieure à 50 kW. Pour le moment, recharger son véhicule électrique n’est donc pas chose aisée. Et n’allez pas croire que la simple multiplication des bornes solutionne tout à l’avenir. Les pouvoirs publics ont beau avoir pour objectif 100 000 points de recharge d’ici 2022 en Hexagone, faire le plein d’électricité ne sera jamais aussi rapide que de remplir un réservoir, car les paramètres à prendre en compte pour une charge optimale sont nombreux.



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pour L’Automobile Magazine