Le long-métrage Ferrari, de Michael Mann, arrive sur la plateforme Prime Video ce jeudi 8 février. Un portait synthétisé d’Enzo Ferrari, davantage centré sur sa vie de famille que sur le sport automobile, retraçant brièvement l’été 1957 traversé par le dirigeant italien.
Trois petits mois, voilà la période choisie par Michael Mann, pour synthétiser l’existence du mythe Enzo Ferrari. Et pourtant, il aura fallu attendre près de trente années, pour que le réalisateur américain parvienne à porter la vie d’Il Commantadore sur grand écran. Le père de Heat (1995) ou du Dernier des Mohicans (1992) s’est alors arrêté sur l’été 1957, charnière pour la gloire de Ferrari et de sa bien nommée Scuderia.
« Vaincre ou mourir »
Gagner des courses pour vendre des voitures, c’est ainsi que pourraient être grossièrement simplifiés les sports mécaniques. Mais face à cette concurrence motivée, Enzo Ferrari, incarné par un Adam Driver grisonnant, s’impose comme un idéaliste : lui vend des voitures dans l’unique but de financer ses courses.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

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Clément Doucet pour TURBO.fr